Quand on est influencé par des guitaristes de la trempe de Philip Sayce, Robert Cray ou bien du très regretté Stevie Ray Vaughan, inutile de vous dire que l'on se doit d'être à la hauteur.
Avec cet album réédité récemment et paru pour la première fois en 2009, Chris Rolling nous sort ses meilleures cartouches pour nous offrir là 11 titres d'un Blues Rock entêtant avec une rythmique bien groovy !
La filiation avec les artistes précédemment cités est d'ores et déjà évidente comme sur les titres "The Lone star state song" "Rollerball" ou bien "Cigarette".
Le très Heavy Blues "Juggernaut (Fury road)" a même eu l'honneur de figurer sur la compilation américaine Southern Californian Label de 272 Records !
Bien mérité au vu de ce que nous propose le guitariste tout au long de cet album bourré de feeling.
Avec cet album réédité récemment et paru pour la première fois en 2009, Chris Rolling nous sort ses meilleures cartouches pour nous offrir là 11 titres d'un Blues Rock entêtant avec une rythmique bien groovy !
La filiation avec les artistes précédemment cités est d'ores et déjà évidente comme sur les titres "The Lone star state song" "Rollerball" ou bien "Cigarette".
Le très Heavy Blues "Juggernaut (Fury road)" a même eu l'honneur de figurer sur la compilation américaine Southern Californian Label de 272 Records !
Bien mérité au vu de ce que nous propose le guitariste tout au long de cet album bourré de feeling.
Chris Rolling possède un certain savoir faire en compositions de soli et la voix abrasive du chanteur qui lorgne du côté d'un Glenn Hughes complète parfaitement le tableau.
Sur "Escape from Earth" le son de guitare se fait un peu plus rond et tout juste saturé.
Une seule balade sur cet album mais un hommage à peine déguisé au grand Stevie Ray Vaughan ("Down in the rain" ressemble étrangement au titre "Riviera paradise" paru sur l'album du texan "In step" en 1989).
le très sautillant "Badass motherfucker" (!) est là pour nous rappeler que le Blues peut se faire "funky" de temps en temps.
Un blues plus conventionnel et très réussi ensuite avec "Uncle pirate Blues" et
une reprise de The Flask "Heavy foot, cool hands" pour terminer l'album.
Un son moderne et tranchant et un guitariste inspiré font de cet opus un bon remède à la crise ambiante.
Chris Rolling poursuit désormais une carrière solo et son prochain album ne devrait pas tarder à sortir.
Sur "Escape from Earth" le son de guitare se fait un peu plus rond et tout juste saturé.
Une seule balade sur cet album mais un hommage à peine déguisé au grand Stevie Ray Vaughan ("Down in the rain" ressemble étrangement au titre "Riviera paradise" paru sur l'album du texan "In step" en 1989).
le très sautillant "Badass motherfucker" (!) est là pour nous rappeler que le Blues peut se faire "funky" de temps en temps.
Un blues plus conventionnel et très réussi ensuite avec "Uncle pirate Blues" et
une reprise de The Flask "Heavy foot, cool hands" pour terminer l'album.
Un son moderne et tranchant et un guitariste inspiré font de cet opus un bon remède à la crise ambiante.
Chris Rolling poursuit désormais une carrière solo et son prochain album ne devrait pas tarder à sortir.
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